Créée par Jean-Jacques RENAUX en janvier 2006, DINASTIM®, basée en BRETAGNE près de DINAN, en plein bassin des productions animales, s’appuie sur l’expérience de son dirigeant qui connaît très bien le monde agricole et en particulier la production porcine. En 1982 il démarre sa carrière comme salarié d’élevage (deux ans), puis éleveur sélectionneur Large-White (pendant quinze ans), devient commercial puis cadre technique chez Algues Bretagne Atlantique filialle du Groupe Roullier de février 1999 à novembre 2005).
Qui sommes-nous ?
L’essentiel de la nature au service de la performance en élevage
Dès la deuxième année de son existance, DINASTIM®, n’a cessé d’investir dans la R&D ce qui permet de vous proposer des SOLUTIONS INNOVANTES ET NATURELLES dans le cadre d’UNE VISION GLOBALE de l’ANIMAL dans son environnement pour:
- vos réseaux et cuves de réserve d’eau et réseaux de machine à soupe.
- les truies qui manquent de performances aussi bien en productivité numérique, qu’en production laitière, en capacité à sevrer, ou encore de fertilité.
- faciliter le sevrage des porcelets en proposant des solutions qui favorisent la consommation et contribue à limiter les soucis digestifs en début de Post-Sevrage.
- diminuer les pertes et corriger le manque de croissance en post-sevrage et engraissement.
Nous avons travaillé sur la réduction du stress du porcelet lors du sevrage, ainsi qu’à son adaptation en post-sevrage pour les élevages où la consommation des porcelets peine à partir du 4ème jour après sevrage..
Nous vous proposons une gamme très innovante avec ses preuves terrain.
La démédication est à la portée de tous. Produire autrement est possible, certains éleveurs l’ont démontré avec succès en améliorant leurs résultats technico-économiques.
Les éleveurs qui témoignent (cf. la revue de presse et lettres info) ont pu diminuer l’utilisation d’antibiotiques dans leur élevage tout en améliorant leurs performances technico-économiques, d’autres le peuvent aussi. Ça peut paraître difficile mais il va falloir s’y résoudre pour se conformer à l’évolution de la législation sur l’utilisation des antibiotiques (plan éco-antibio 2017 et le plan écoantibio 2 de 2017 à 2021). Le fait sociétal est là, et nous devons nous adapter car le consommateur est de plus en plus informé de ce qui se passe dans les élevages, parfois avec une vision faussée de la réalité.
AGIR SUR LE MICROBIOTE PAR LA MICRONUTRITION EST UNE VOIE POSSIBLE, PENSONS L’ANIMAL EN PLEINE NATURE !
DINASTIM© a mis au point une gamme d’aliments complémentaires de l’alimentation animale à base d’extraits végétaux (extraits hydro alcooliques, pré mélanges d’huiles essentielles, extraits de plantes micronisées, lithothamne, argiles, algues spiruline, chlorelle…) destinée à l’accompagnement des animaux de rente. La grande diversité botanique de notre gamme constitue une véritable micronutrition permettant d’égaler tout ou partie de ce que les animaux trouveraient dans les sols, les prés et les talus à l’état naturel.
L’innovation au coeur de notre activité vous procure un retour sur investissement.
Suite aux différentes évolutions de l’agriculture, DINASTIM® s’est orientée vers la recherche et l’adaptation de méthodes et produits naturels apportant une véritable alternative aux différents acteurs des productions animales dans le respect de l’environnement et du consommateur. Ainsi, DINASTIM® s’inscrit dans une démarche nouvelle « d’agriculture écologiquement intensive » ou « d’agriculture durable » ou bien encore « de nouvelle agriculture ». Tous ces termes montrent bien que nous sommes dans une véritable prise de conscience du besoin de produire autrement. Notre démarche conduit à l’amélioration des coûts de revient par de meilleures performances zootechniques grâce à une meilleure efficacité alimentaire (croissance, indice de consommation, pertes, fertilité, montée laiteuse…).
Notre gamme se veut être une réponse aux nouveaux défis sanitaires et environnementaux rencontrés dans le monde des productions animales et plus particulièrement digestifs. Ces derniers pénalisent lourdement l’économie de l’exploitation par des résultats zootechniques qui ne sont plus au rendez-vous et par une augmentation des dépenses de santé. Ces dernières participent à l’augmentation des coûts de production et, par conséquent, à la diminution de la rentabilité pour l’éleveur.